On a besoin d’air
pour respirer,
d’une autre main
pour ressentir la
propre peau,
du regard des
autres
pour mieux nous
repérer.
On a besoin de
joie.
Ok. D’accord. J’accepte.
Le bonheur n’existe
pas,
c’est même fort
possible
qu’il n’aie
jamais existé
et voilà nous,
les savants
perdus,
face à face
devant l’inconnu
ivres d’orgueil,
vides d’amour.
Parmi mes deuils
je choisis la
certitude
de nous savoir
finis,
le néant s’exprime
parfois
sous la forme de poésie.
Une merveille.
ResponderEliminarCristina.
Merci Cristina!
Eliminar